Nous savons que l’eau est la ressource la plus essentielle à la vie, et sa qualité constitue un enjeu sanitaire et environnemental majeur. Pourtant, notre choix de l’eau potable reste surtout limité à des critères purement chimiques et microbiologiques. Est-ce suffisant ?
Or, une vision émergente, portée par des chercheurs en physique fondamentale, chimie quantique et biologie, invite à reconsidérer la nature profonde de l’eau — non pas comme un simple solvant inerte, mais comme un milieu structuré, cohérent et porteur d’information.
Cet article explore ces perspectives novatrices et leurs implications profondes pour notre santé et démontre que le choix de l’eau que nous buvons est essentiel.
Quelle part occupe l’eau chez l’homme
L’eau, que nous désignons couramment H2O, constitut environ 53-55 pds % (du poids) du corps humain mais concerne environ 97% de nos molécules.
La vie étant essentiellement de la MATIÈRE EN MOUVEMENT, le chiffre qu’il faut retenir est bien 97 mol% !
Pour le reste, on compte environ 2,5 mol % de minéraux et 1,5 mol % de matière organique.
Rien que connaître ces chiffres devrait instiguer chacun à la réflexion !
Au-delà de H₂O : la structure invisible de l’eau devrait influencer notre choix de l’eau
En effet, l’eau ne se réduit pas à sa formule chimique. L’organisation moléculaire de l’eau peut exister sous deux formes :
- L’eau incohérente, dont les molécules sont désordonnées, comme dans une foule anarchique. C’est souvent le cas des eaux stagnantes ou traitées de manière agressive (chloration, canalisations sous pression, etc …).
- L’eau cohérente, où les molécules s’organisent en réseaux stables et vibrants, capables de porter et de transmettre de l’information. Dans la nature, on la trouve dans certaines eaux de source, près des glaciers, ou dans les cellules vivantes.
Les pionniers et les fondations quantiques de la cohérence de l’eau
La notion d’eau « cohérente » ne relève pas de la métaphysique mais de la physique théorique.
Elle plonge ses racines dans les travaux pionniers du physicien Giuliano Preparata (1942 -2000) et de son collaborateur Emilio Del Giudice (1940-2014), qui, dans le cadre de l’Électrodynamique Quantique (QED), ont théorisé dès les années 1980 que les molécules d’eau, au sein d’un corps liquide, peuvent se synchroniser et osciller en phases, formant des domaines de cohérence quantique. Ces domaines, de taille mesurable, se comportent comme une entité unique et non comme une collection de molécules individuelles.
Le physicien Giuseppe Vitiello, physicien théoricien, a poursuivi et affiné ces modèles, décrivant comment l’eau peut ainsi stocker et échanger de l’énergie électromagnétique de manière efficiente.
Luciano Gamberale, collaborateur d’Emilio Del Giudice, a contribué à modéliser les propriétés collectives de l’eau
H3 Les pionniers et les fondations quantiques de la cohérence de l’eau
La notion d’eau « cohérente » ne relève pas de la métaphysique mais de la physique théorique.
Elle plonge ses racines dans les travaux pionniers du physicien Giuliano Preparata (1942 -2000) et de son collaborateur Emilio Del Giudice (1940-2014), qui, dans le cadre de l’Électrodynamique Quantique (QED), ont théorisé dès les années 1980 que les molécules d’eau, au sein d’un corps liquide, peuvent se synchroniser et osciller en phases, formant des domaines de cohérence quantique. Ces domaines, de taille mesurable, se comportent comme une entité unique et non comme une collection de molécules individuelles.
Le physicien Giuseppe Vitiello, physicien théoricien, a poursuivi et affiné ces modèles, décrivant comment l’eau peut ainsi stocker et échanger de l’énergie électromagnétique de manière efficiente.
Luciano Gamberale, collaborateur d’Emilio Del Giudice, a contribué à modéliser les propriétés collectives de l’eau dans le cadre de la QED. Ses recherches explorent comment la structure cohérente de l’eau influence les processus biologiques et les réactions chimiques.
Ses recherches explorent comment la structure cohérente de l’eau influence les processus biologiques et les réactions chimiques.
Les travaux du Prof. Marc Henry, chimiste quantique et physicien théoricien français, mettent en lumière l’importance de l’organisation moléculaire de l’eau et ses implications sur notre santé. Ces travaux nous guident dans le choix de l’eau que nous buvons.
À ces chercheurs ci-dessus, on doit aussi ajouter d’autres figures ayant fait le choix de l’eau comme sujet d’étude, tels que :
- Prof. Vladimir Voeikov (1946) (Université d’État de Moscou, Russie). Biochimiste qui a longuement étudié les propriétés bioactives de l’eau et son rôle dans les systèmes vivants, il soutient l’idée que l’eau possède une « activité spécifique » et des propriétés de communication qui sont essentielles à la vie.
- Prof. Bernd Kröplin (1944-2019) (Université de Stuttgart, Allemagne) : Il a dirigé une équipe qui a étudié la « mémoire de l’eau » par l’observation de gouttes séchées. Ses travaux, plus empiriques, suggèrent que l’histoire d’une eau (substances avec lesquelles elle a été en contact, influences environnementales) influence la structure des cristaux qu’elle forme en s’évaporant.
Sans oublier :
- Dr. Masaru Emoto (1943-2014) : Très connu du grand public pour ses livres de photos de « cristaux d’eau ». Il affirmait que les intentions, les mots ou la musique influençaient la beauté des cristaux formés par l’eau gelée. Ses méthodes ont été jugés non scientifiques (absence de protocole en double aveugle, subjectivité de l’appréciation esthétique). Ils restent cependant influents dans la culture populaire et les approches alternatives.
Une validation expérimentale et biologique de l’eau cohérente
Le Pr Gerald Pollack (Université de Washington) a apporté une validation expérimentale cruciale à ces concepts sur la cohérence de l’eau avec sa découverte de la « zone d’exclusion » (EZ water). Il valide le fait que l’eau cohérente, serait la clé d’une hydratation optimale et d’une communication cellulaire efficace. Le choix de boire ce type d’eau s’avère donc très bénéfique pour notre santé.
En France, le Pr Marc Henry a joué un rôle central en traduisant ces théories fondamentales en implications biologiques concrètes.
Ses calculs, suggérant que l’eau du corps humain possède une capacité informationnelle phénoménale (équivalant à des centaines de millions de giga-octets), étayent l’idée que l’eau cohérente est le support logistique et communicationnel idéal pour la coordination cellulaire et la morphogenèse.
La théorie des champs quantiques et les travaux de Luc Montagnier
Les recherches de Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine, sur la mémoire de l’eau ont introduit une perspective audacieuse en reliant la physique quantique à la biologie moléculaire. Dans son article « Water Bridging Dynamics of Polymerase Chain Reaction in the Gauge Theory Paradigm of Quantum Fields », Montagnier propose un modèle théorique où l’eau agit comme un médiateur dans la réplication de l’ADN via des phénomènes de cohérence quantique.
Selon lui, des signaux électromagnétiques émis par certaines séquences d’ADN pourraient être enregistrés et transmis par l’eau, facilitant des processus comme la PCR (réaction en chaîne par polymérase) sans présence physique initiale de l’ADN.
Cette hypothèse, bien que controversée, s’inscrit dans le cadre des théories de jauge en champs quantiques et rejoint les notions de cohérence développées par Preparata et Del Giudice. Elle suggère que l’eau pourrait jouer un rôle actif dans la rétention et la transmission d’informations biologiques, ouvrant la voie à une compréhension nouvelle des mécanismes de communication moléculaire.
Le soutien théorique de Brian D. Josephson
Le prix Nobel de Physique Brian D. Josephson a apporté un soutien théorique essentiel à ces recherches.
Célèbre pour ses travaux sur l’effet tunnel quantique (effet Josephson), il a défendu l’idée que les phénomènes de cohérence quantique pourraient expliquer des propriétés émergentes dans les systèmes biologiques complexes, dont le rôle de l’eau et in fine l’importance pour chacun des nous, du choix de l’eau que nous buvons.
Josephson a notamment soutenu les travaux de Jacques Benveniste sur la mémoire de l’eau, suggérant que les critiques adressées à ces expériences négligeaient les effets subtils de la physique quantique, capables de modifier les propriétés de l’eau à distance. Son implication a offert une légitimité scientifique supplémentaire à l’idée que l’eau n’est pas un milieu passif, mais un système dynamique régit par des lois quantiques.
Au-delà de la polémique : une nouvelle grille de lecture de mémoire de l’eau
Cette approche permet de reconsidérer sous un jour nouveau des controverses anciennes, comme celle de la « mémoire de l’eau » initiée par Jacques Benveniste.
Sans valider directement ses protocoles, la physique des domaines de cohérence offre un cadre théorique plausible pour expliquer comment l’eau pourrait conserver une empreinte informationnelle des substances avec lesquelles elle a été en contact, via une modification durable de l’organisation de ses domaines cohérents et non par la présence physique des molécules.
L’eau morphogénique : une clé pour la vie ?
Pour le Prof. Marc Henry, l’eau morphogénique — c’est-à-dire capable d’influencer la forme et l’organisation du vivant — possède une structure permettant de stocker une quantité phénoménale d’information. Ses calculs suggèrent que l’eau du corps humain pourrait contenir l’équivalent de 465 millions de giga-octets de données.
Une telle capacité expliquerait comment l’eau participe à la coordination cellulaire, à la morphogenèse et à la régulation fine des organismes, des procaryotes (bactéries, archées) aux mammifères.
Implications : refonder la notion de qualité
Cette vision révolutionne la définition de ce qu’est la « bonne eau ». Il ne s’agit plus seulement d’éliminer les polluants (approche quantitative), mais aussi de préserver ou restaurer son intégrité structurelle et informationnelle (approche qualitative).
Le choix d’une eau « vivante » – cohérente –, comme celle de certaines sources ou dynamisée par des vortex naturels, hydraterait et communiquerait avec nos cellules bien plus efficacement qu’une eau du robinet traitée, dont la structure a été rendue « incohérente » par les traitements chimiques et la pression.
Le meuilleur choix de l’eau à boire – Une Eau « Sur Mesure » pour la Biologie
Pour le Pr Marc Henry, la meilleure eau à boire n’est pas simplement une eau pure, mais une eau « vivante », c’est-à-dire biocompatible et structurellement optimisée pour interagir avec nos cellules. Ses recommandations sur l’eau et sa préparation combinent trois étapes précises :
ETAPE 1. Osmose Inverse : Le Nettoyage de Fond
L’Objectif : Éliminer la charge informationnelle polluante. L’eau du robinet ou en bouteille contient des résidus de médicaments, pesticides, métaux lourds, chlore et nitrates. Même à l’état de traces, ces molécules imposent une « signature » vibrationnelle négative à l’eau qui les dissout, la rendant « incohérente ».
Le Principe : L’osmose inverse est le filtre le plus fin qui existe. Elle retire 99% des solutés, produisant une eau quasiment « vierge » sur le plan informationnel. C’est une toile blanche.
ETAPE 2. La Dynamisation par Vortex : La Restructuration
L’Objectif : Restaurer la cohérence quantique de l’eau. Une eau osmosée est pure, mais aussi « morte » structurellement ; ses molécules sont désorganisées.
Le Principe : Le fait de faire tourbillonner l’eau (vortex) lui imprime un mouvement structurant qui :
- Réoxygène l’eau naturellement.
- Réorganise les molécules en vastes réseaux de liaisons hydrogène cohérents, similaires à l’eau trouvée dans les cellules vivantes ou les sources de montagne.
Cette eau « dynamisée » devient un liquide biocompatible, capable de pénétrer facilement les cellules et de participer efficacement aux processus métaboliques.
ETAPE 3. L’Enrichissement avec l’Eau de Quinton : La Re-minéralisation Informationnelle
L’Objectif : Apporter une information minérale biologiquement disponible et non une charge minérale inerte.
Le Principe : Ajouter des minéraux sous forme de sels inertes (comme dans certaines eaux minérales) peut, selon Henry, surcharger l’organisme et participer à la formation de calculs rénaux.
On peut en revanche faire le choix de l’eau de Quinton (plasma marin isotonique), qui contient l’intégralité des minéraux et oligo-éléments, dans les mêmes proportions que le plasma sanguin et le milieu intérieur de nos cellules.
Ces minéraux sont ionisés et biologiquement disponibles, ce qui signifie qu’ils sont immédiatement reconnus et assimilables par l’organisme.
Ils apportent ainsi une signature informationnelle parfaite qui « informe » l’eau structurée sur le rôle qu’elle doit jouer dans l’organisme.
Conclusion : vers une science de l’eau intégrative et audacieuse
Les enjeux autour du choix de l’eau que nous buvons appellent à une approche holistique, conjuguant :
- La rigueur analytique de la chimie (recherche de polluants) ;
- La compréhension fine de la physique quantique (structure et cohérence) ;
- Le respect du vivant (équilibre microbiologique, biodisponibilité).
Les travaux des Preparata, Del Giudice, Pollack, Henry, Montagnier, Josephson et d’autres, tracent la voie vers une compréhension unifiée de l’eau. Ils nous invitent à considérer l’eau dans toute sa complexité : faire le choix de voir l’eau non pas comme une ressource à dompter, mais comme un partenaire quantique du vivant, dont nous devons préserver à la fois la pureté chimique et la vitalité physique et informationnelle.
Sources
Auteurs
Elisabeth avec concours d’Adrianne et de Pierre